lundi 5 octobre 2009

Thom Yorke and Flea


The news that Thom Yorke had come to Los Angeles and formeda temporary supergroup with Flea from the Red Hot Chili Peppers was surprise enough to most RThe news that Thom Yorke had come to Los Angeles and formedadiohead fans. Most were intrigued, but for those concerned with rock credibility it was like hearing that the chaps from Peep Show were taking a break to write a show with Jim Davidson, or that Hugh Fearnley-Whittingstall was collaborating with Bernard Matthews on a turkey burger.
Then, for those lucky enough to get hold of tickets for the suddenly announced shows (first a "rehearsal show" at the 600-capacity Echoplex nightclub, then two nights at the glorious 2,000-seater Orpheum Theatre) the even bigger surprise was in seeing what would happen when Yorke's solo album, The Eraser, was played in full by this new, nameless band, also featuring Radiohead producer Nigel Godrich on keyboards, Joey Waronker on drums and Mauro Refosco on Brazilian percussion.
Harrowdown Hill, a gut-wrenching work that queries whether the death of Ministry of Defence weapons expert Dr David Kelly was really suicide, has been described by Yorke as "the angriest song I have ever written". So who knew that what it really needed was a funky Chili Peppers bassline wriggling through it? Yet somehow Flea managed to take this most haunting and most English of songs and make it his own. The Clock turned into something between trip-hop and dubstep, thanks to the pounding tribal beat of Refosco's berimbau, an Afro-Brazilian instrument used to keep time in capoeira slave dances.
Skip Divided saw Flea, a gifted trumpeter, parping into a melodica, and on some songs Godrich provided backing vocals. Yet the biggest surprise of all was seeing Flea and Yorke share the front of the stage to dance together – Yorke wiggling his hips while an electric shock appeared to run through his arms; Flea doing his unique loose-neck limbo, like a swan that has mistaken itself for a woodpecker.
"This music was all about making a dance record, in my head, so if you want to sit there like it's a cinema that's fine," announced Yorke, "but if you want to get up ..." And with that, an audience that included Hollywood actors Tobey Maguire, Anne Hathaway and Woody Harrelson leapt to their feet.
Later, Yorke was left alone to play three new songs at the piano: Lotus Flower, Open the Floodgates, and Super Collider, the latter involving piano chords that looped from major to minor with an unadulterated sweetness rarely associated with Radiohead. Then the band returned for an encore of Paperbag Writer (dedicated to Colin Greenwood, the only Radiohead member in the audience), Judge, Jury & Executioner, The Hollow Earth, and Feeling Pulled Apart By Horses.
Lily Allen, recently annoyed by Radiohead's support for guerrilla music industry schemes, may be even more annoyed now. Not only did this show require a marketing budget of zero but rehearsal time was only three weeks, according to Yorke, "so I'd like to thank these guys for working their tits off".
The biggest cheer of the night came during Atoms for Peace. "No more talk about the old days," he sang, "it's time for something great."

Mondial 2010


Villa forfait contre l'Arménie


L'attaquant de l'Espagne, David Villa, a déclaré forfait pour les deux prochaines rencontres de la Roja, en Arménie et en Bosnie

la ligue français


Deschamps: «Ça va mieux se passer


Au lendemain de la défaite de l'Olympique de Marseille contre Monaco (1-2 au stade Vélodrome, Didier Deschamps était l'invité de «France Foot, l'émission», ce lundi sur L'Équipe TV. L'entraîneur olympien s'est exprimé sur l'actualité de son club, qui reste sur une série de trois défaites en huit jours.Pour l'entraîneur phocéen, l'origine du mal se situe dans le Nord : «Ça a commencé à Valenciennes où on prend trois buts. C'est cette fragilité défensive, qui vient de toute l'équipe et pas seulement des quatre de derrière, qui pénalise l'ensemble.» Une fragilité incarnée par la paire Diawara-Heinze. Mais Deschamps refuse de les enfoncer : «Notre charnière est solide individuellement. Mais il faut qu'ils trouvent des automatismes, de la complicité. Et ça ne se trouve pas du jour au lendemain. Il y a trois semaines, on louait les qualités de Souleymane Diawara et de Gabriel Heinze. Mais il ne faut pas oublier qu'ils sont dépendants de ce qui se passe devant. C'est l'ensemble de l'équipe qui doit mieux défendre.» Et ce qui se passe devant n'est pas facile à mettre en place, «entre les blessures des uns, les suspensions des autres, j'ai rarement pu disposer de tous mes joueurs. Ça retarde les automatismes.»
«L'OM est capable de faire beaucoup mieux»
Invité à s'exprimer sur le cas Lucho Gonzalez, décevant depuis son arrivée, Deschamps a tenu à retoquer les critiques : «Je ne considère pas qu'il est hors de forme. Là, il alterne le bon et le moins bon. Mais avec la classe qu'il a, il va forcément s'améliorer. Il a besoin d'être dans un collectif qui fonctionne pour être performant. Il est capable de faire beaucoup mieux qu'il ne le fait, mais c'est un joueur qui dépend du mouvement de ses partenaires et de la relation technique qu'il a avec eux. Il faut lui laisser du temps.»Enfin, en ce qui concerne les objectifs élevés du club annoncé en début de saison, un titre et une place en huitièmes de finale en Ligue des champions, "DD" assure que le club «n'a pas changé ses objectifs cette saison. Ce serait dramatique de les revoir à la baisse». L'entraîneur phocéen se veut optimiste pour la suite de la saison : «Individuellement et collectivement, l'Olympique de Marseille est capable de faire beaucoup mieux que ce qu'il a fait cette semaine. On a un peu de retard sur nos poursuivants, c'est vrai, mais j'espère et je suis persuadé que ça v
a mieux se passer ces prochaines semaines.»

Sarkozy scrute le climat social


Nicolas Sarkozy est intervenu lundi matin devant le Forum des chefs d'entreprise, pour un discours adressé aux entrepreneurs . Jeudi, il sera en Moselle, sur le thème de la reconversion industrielle. Il aborde ces thèmes entrepreneuriaux après s'être concentré sur les sujets d'ouverture - la taxe carbone et le RSA jeunes - qui ont contrarié sa majorité et son électorat. Mais le grand sujet du moment reste, aux yeux de Nicolas Sarkozy, le traitement social de la crise. Le RSA jeunes, notamment, était jugé urgentissime par l'Élysée, très inquiet des dégâts à venir du chômage chez les jeunes. Le sondage Viavoice publié lundi matin dans Libération est d'ailleurs de nature à rassurer le président : 71 % des Français se disent favorables à l'extension du RSA aux moins de 25 ans. Quant à la taxe carbone, l'Élysée a obtenu du Trésor que les Français perçoivent un chèque de remboursement dès le début de l'année 2010, afin d'effacer leurs doutes… avant les élections régionales.
Nicolas Sarkozy surveille en effet le climat social comme le lait sur le feu. Et pour ce faire, il s'appuie de plus en plus sur ses deux horlogers principaux, Claude Guéant, son secrétaire général, et Raymond Soubie, son conseiller social. À eux deux, ils cogèrent de plus en plus les dossiers de politique intérieure. Le premier est désormais le seul animateur de la réunion du matin, le président y faisant des apparitions rarissimes. Le second, blanchi sous le harnois de la négociation sociale depuis les années 1970 - il fut le conseiller social de Jacques Chirac puis de Raymond Barre -, a acquis à l'Élysée une place prépondérante. Il rassure le chef de l'État : «C'est le bon docteur Soubie qui a pris le pouvoir, c'est évident, sourit un conseiller. Il donne au président la température sociale et lui assure que tout est sous contrôle.» Éviter le clash social, soigner la cogestion et empêcher les drames prévisibles de basculer dans les revendications incontrôlées, c'est à tout instant l'obsession de Raymond Soubie. «Sarkozy sait bien que le dernier luxe qu'il pourrait se payer, ce serait d'avoir des syndicats unis dans la grève», conclut cet observateur. Est-ce pour cette raison qu'en ces temps incertains plusieurs élus de la majorité font remarquer que la politique de Nicolas Sarkozy rappelle celle de Jacques Chirac ?
Une gestion très chiraquienne

mondial 2010


Domenech espère cartonner les Féroé


samedi, contre les Iles Féroé, il faudra «marquer le plus de buts possibles». Dans sa traditionnelle chronique publiée sur le site de la FFF, le sélectionneur dit, ce lundi, avoir une obsession : déconditionner les joueurs face à cette idée qu'ils joueront les barrages de qualification à la Coupe du monde en novembre. «On entend ça partout : on va jouer les barrages, comme si les deux matches (Iles Féroé samedi et Autriche le 14, ndrl) n'existaient pas. Ce qu'il faut que je rappelle aux joueurs, c'est que pour jouer les barrages, il faut battre les Féroé. Et ce n'est pas fait. L'autre aspect, c'est qu'il n'est pas sûr que les Serbes battent les Roumains. S'ils ne le font pas, tout se jouera sur le dernier match (sous-entendu : la France peut-être première). Les Féroé, il faut donc les jouer à fond pour marquer le plus de buts possibles et mettre la pression aux Serbes. Que les joueurs ne viennent pas en se disant qu'ils vont faire du tourisme.»
«Mettre tout ce qu'on a»
La Serbie possède quatre points d'avance sur la France dans le groupe 7 et une meilleure différence de buts que la France (+10 contre +2). La différence de buts départagera les deux équipes dans deux hypothèses : si la Serbie perd ses deux matches et que la France prend quatre points (19 partout). Ou si la Serbie fait deux nuls pendant que la France enchaîne deux victoires (21 partout). En tout état de cause, la Serbie restera maîtresse de son destin jusqu'au bout. Même si elle perd contre la Roumanie et que la France «cartonne» les Îles Féroé, une victoire en Lituanie lui garantira la première place. Quant aux Bleus, l'objectif différence de buts est un vrai challenge pour une équipe très chiche en attaque depuis un an. Il lui faudrait gagner quelque chose comme 6-0 et 3-0 pour être dans les temps.C'était la norme aux Féroé entre 2004 et 2007 (2-0, 3-0, 5-0 et 6-0). Mais le duel de Torshavn en août avait été plus étroit : 1-0. «Et ils ont battu la Lituanie : il faudra mettre tout ce qu'on a», insiste le sélectionneur. Il refuse que ses hommes «occulte les deux matches» d'octobre pour penser à novembre. Domenech a aussi fait aussi une affaire personnelle du match d'après, l'Autriche au Stade de France. «Ceux qui n'ont pas la mémoire courte se souviennent de l'aller (naufrage 1-3 à Vienne). On espère montrer que c'était un accident et qu'on est capables de battre l'Autriche. Mais un stage comme celui-là, c'est d'abord dans la tête.» L'absence simultanée de Gourcuff et Ribéry aura au moins le mérite de sortir les Bleus de leur train-train.

Les producteurs de lait


Bruxelles reste inflexible sur la crise du lait


la circulation du quartier européen avec vaches et tracteurs, n'aura pas suffi à infléchir la position de la Commission dans la crise du lait.
À l'issue de la réunion extraordinaire des ministres de l'Agriculture, l'exécutif européen s'est contenté d'accepter la mise en place d'un «groupe d'experts de haut niveau» chargé de faire des propositions pour soutenir le secteur. Parmi les pistes évoquées : la mise en place d'un marché à terme, la transparence du marché, la généralisation d'accords entre les laiteries et les producteurs. Les conclusions sont attendues pour juin 2010.
La France, qui avait poussé à l'organisation de cette réunion, et rallié dix-neuf autres pays à la cause d'une plus grande régulation, s'est félicitée de cette avancée. «L'Europe était engagée dans une
dérégulation totale. Le choix qui est fait aujourd'hui, c'est de travailler sur une nouvelle régulation», estimait lundi le ministre français Bruno Le Maire à l'issue de la réunion. «J'ai la conviction que l'Union européenne est désormais dans la bonne direction», a-t-il ajouté.
Pas sûr, pourtant, que ces pistes de réflexion suffisent à calmer la colère des producteurs, dont beaucoup disent travailler à perte avec la chute des prix. Sur le fond, la Commission n'a pas bougé d'un iota sur la fin programmée des quotas à l'horizon 2015.
«Une situation quasi insurrectionnelle»
Sur ce point hautement sensible, qui est pour les producteurs la cause directe de la chute dramatique des cours du lait depuis un an, la commissaire européenne à l'Agriculture Mariann
Fischer Boel a été très claire : le secteur va devoir «s'ajuster à un monde sans quotas», a-t-elle répété. «Au vu du budget 2010, nous disposons de marges de manœuvre extrêmement limitées», a-t-elle ajouté, laissant peu d'espoir aux professionnels du secteur. Mal engagée, la question des aides aux producteurs est au menu du conseil agricole du 19 octobre.
Côté syndical, les réactions sont mitigées. «Cela va dans le bon sens. La Commission parle de régulation, souligne Pascal Massol, le président de l'Apli (Association des producteurs de lait indépendants). Cependant nous attendions plus des résultats concrets de cette réunion et nous en appelons désormais aux chefs d'État et de gouvernement européens pour qu'ils tapent du poing sur la table.» Une démarche appuyée par le député Vert José Bové. «Dans l'immédiat, ce dont les producteurs et leurs familles ont besoin, c'est de mesures d'urgence pour apporter un peu d'oxygène dans les trésoreries», poursuit de son côté le
syndicat majoritaire, la FNSEA. Ils viendront revendiquer en se faisant entendre massivement lors de la mobilisation nationale du 16 octobre.» La réaction la plus virulente vient de la coordination rurale qui avait appelé, avec l'Apli, à la grève du lait. «Les ministres et la Commission prennent la responsabilité de l'instauration d'une situation quasi insurrectionnelle dans les campagnes, avec une colère qui devrait unir l'ensemble des agriculteurs, laitiers ou non, de l'Europe entière pour faire changer la PAC qui les fait disparaître», estime le deuxième syndicat français qui en appelle implicitement à relancer la grève suspendue depuis près de deux semaines.


mondial 2010


Ribéry déclare forfait


Sale nouvelle pour l'équipe de France. Franck Ribéry est forfait pour les deux prochains matches des Bleus, contre les Îles Féroé samedi à Guingamp, puis contre l'Autriche, mercredi 14 octobre, à Saint-Denis, deux rencontres capitales pour la qualification à la Coupe du monde 2010. Le milieu de terrain du Bayern Munich, qui souffre d'une tendinite au tendon rotulien du genou gauche, ne sera pas remplacé dans le groupe. Il a quitté le stage après avoir fait constater sa blessure ce lundi. Ribéry absent, c'est un nouveau coup dur pour l'équipe de France, déjà privée de son autre créateur, Yoann Gourcuff, blessé aux ischio-jambiers en Ligue des champions avec Bordeaux la semaine passée et laissé au repos une dizaine de jours. Autre joueur incertain : Sébastien Squilacci. Le défenseur du FC Séville a été touché aux côtes dimanche, lors de la victoire de son club contre le Real Madrid (2-1).

Mondial 2010


Blatter : "L'absence de Messi ou Ronaldo ne posera pas de problème


Le président de la FIFA, Sepp Blatter, a indiqué que les éventuelles absences de Lionel Messi ou Cristiano Ronaldo, en cas de disqualifications de l'Argentine et du Portugal, ne "seraient pas un problème".